Je cherche un ophtalmologue
à Alençon

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Comment trouver un rendez-vous rapide avec un ophtalmologue à Alençon ?

Trouver un ophtalmologue à Alençon relève parfois du parcours du combattant. En effet, ce n’est pas tant de le trouver qui est compliqué, mais c’est d’obtenir un rendez-vous rapide avec un professionnel de la vue qui est souvent bien difficile ! Dans le cas d’un changement de lunettes par exemple, quand le patient souhaiterait consulter rapidement et pouvoir enfin profiter de sa toute nouvelle monture, c’est malheureusement souvent chose impossible avec les délais appliqués. C’est également handicapant lorsque le patient ressent une gêne ou une difficulté dans sa vision quotidienne, et qu’il est contraint d’attendre des mois pour enfin bénéficier d’une consultation. En cause, la faible densité d’ophtalmologues en France, et notamment leur densité à Alençon. Ils y sont au nombre moyen, au niveau départemental, de 6,7 pour une population de 100 000 habitants, ce qui signifie, concrètement, que le médecin se devrait de traiter environ 15 000 habitants ; rien que ça ! Alors, évidemment, les délais d’attente sont très longs. C’est également le cas avec les ophtalmologues de la région Normandie, que ce soit Caen, Évreux, Saint-Lô ou Rouen où les délais d’attente restent importants. 

Eyeneed cherche pour vous votre professionnel !

Eyeneed est une plateforme d’accueil créée par un ophtalmologue normand, qui, au vu de la difficulté des patients à obtenir un rendez-vous dans des délais raisonnables, a décidé de créer une solution pour tous, simple d’accès, gratuite, et innovante, pour remédier à ce problème national. Le concept : le patient se rend sur le site internet www.eyeneed.fr puis répond à quelques questions (pas plus d’une minute), afin de procéder à l’établissement d’un pré-diagnostic; à l’issue de ce questionnaire succinct, mais très informatif aux yeux des professionnels de la santé visuelle, le site Eyeneed propose différents créneaux de rendez-vous rapides au patient avec différents ophtalmologues ou orthoptistes. Ce court questionnaire sert en fait à identifier le profil de la santé visuelle du patient, et à le rediriger vers des ophtalmologues, des ophtalmologues et des orthoptistes, ou encore, des ophtalmologues, des orthoptistes, et des opticiens, de manière à optimiser ses chances d’obtenir une consultation, et à lui en proposer une la plus rapide possible. En effet, depuis 2 ans, les orthoptistes peuvent procéder à des examens visuels et même délivrer des prescriptions, ce qui favorise considérablement les chances pour le patient de consulter sans tarder. De plus, de nombreux patients ignorent que les opticiens peuvent procéder à une réévaluation de l’acuité visuelle d’un patient tant que sa prescription est encore valide. Dans ce cas, Eyeneed fait différentes propositions au patient, lequel choisit son professionnel, sa qualité, et son créneau de rendez-vous en toute liberté. La plateforme Eyeneed permet également d’intégrer ses prescriptions et ses résultats d’examen, ainsi, le patient peut centraliser ses données, et en référer à l’ensemble des spécialistes de la vision qu’il consultera au cours de sa vie, sans avoir besoin de rechercher longuement ses documents, ou de courir après d’anciennes prescriptions.

Les établissements spécialisés en ophtalmologie à Alençon 

Le département de l’Orne compte 4 établissements spécialisés en ophtalmologie : le Centre Hospitalier de l’Aigle à L’Aigle ; le Centre Hospitalier intercommunal Alençon-Mamers à Alençon ; la Clinique d’Alençon à Alençon ; et, pour finir, la Clinique Saint Dominique à Flers. 

Alençon, terre de dentelle     

Située dès l’Antiquité entre deux centres urbains et religieux différents, Alençon se développe entre Seine et Loire. Érigée en duché au XVème siècle, la ville sera la cible des saccages contre le culte catholique. L’essor de la cité viendra d’ailleurs d’une protestante, Marthe la Perrière, qui inventa le point d’Alençon et fonda une manufacture qui bénéficiera du statut de manufacture royale par Colbert. Cette technique particulière et noble sera consacrée par l’exposition universelle de Londres en 1851. Plus de 8 000 dentellières travailleront à son essor jusqu’à la concurrence de la dentelle mécanique au début du XXème siècle. Cette époque, bien que révolue, reste aujourd’hui la signature d’Alençon, même si son économie est dorénavant tournée sur la plasturgie.